On raconte que les enfants qui se perdent dans la ville un soir de pluie finissent dévorés par les sirènes de l’averse. Le seul moyen d’échapper à ces créatures affamées serait de trouver d’autres enfants perdus et de ne jamais s’éloigner d’eux.
On raconte aussi que les sirènes trouvent toujours un moyen pour s’insinuer dans les groupes les plus soudés. A la fin, un seul enfant perdu parviendra à retrouver le chemin de la maison.
Des autres, on n’entendra plus jamais parler.